Lors de l’élection présidentielle de 2024, la promesse d’un choix démocratique s’est effacée au profit d’une scène politique verrouillée. Avec seulement trois candidatures validées et un taux de participation inférieur à 30 %, le scrutin a davantage confirmé le pouvoir de Kaïs Saïed qu’il n’a exprimé la volonté populaire, comme le montre l’étude « L’élection présidentielle de 2024 en Tunisie : de la non-compétition au non-politique » réalisée par Omar Kardous, suivie par Amine Kharrat.في ...
Lors de l’élection présidentielle de 2024, la promesse d’un choix démocratique s’est effacée au profit d’une scène politique verrouillée. Avec seulement trois candidatures validées et un taux de participation inférieur à 30 %, le scrutin a davantage confirmé le pouvoir de Kaïs Saïed qu’il n’a exprimé la volonté populaire, comme le montre l’étude « L’élection présidentielle de 2024 en Tunisie : de la non-compétition au non-politique » réalisée par Omar Kardous, suivie par Amine Kharrat.في الانتخابات الرئاسية التونسية لسنة 2024، تراجعت وعود الاختيار الديمقراطي أمام مشهد سياسي مغلق. بثلاثة مترشحين فقط ونسبة مشاركة لم تتجاوز 30%، أكّد الاقتراع استمرار سلطة قيس سعيّد أكثر مما عبّر عن إرادة الشعب، كما تكشف دراسة « الانتخابات الرئاسية في تونس لسنة 2024: من غياب التنافس إلى غياب السياسة » للباحث محمد عمر كردوس تحت إشراف أمين الخراط.
View more