Après cinq ans à Moscou, le retour tant attendu par la famille de Christine Hubert a été un choc. “Je ne l’aurais jamais cru, mais j’ai pleuré à chaudes larmes en partant”, raconte la Française pour qui l’image de son pays d’origine a beaucoup changé après ce départ à l’étranger, “j’ai finalement trouvé des choses dans cette expatriation qui m’ont plues et au retour, on n’est pas vraiment attendu, pas aidé”.