Si les mots n'existent pas, la réalité ne peut pas exister.
C'est entre autres ça, l'injustice épistémique.
Ce mot, il vous est expliqué par Solène Métayer, mon invitée du jour.
Passionnée par ce sujet, elle y dédie même la thèse de son doctorat.
Prenons un exemple pour en parler en quelques mots: Me too.
Jusqu'à l'arrivée de Me too - le fait de nommer - les femmes vivaient seules avec ce mal être. Elles n'étaient pas cru; elles ne pouvaient pas se rassembler.
Le fait de mettre un mot a permis à un tas de f...
Si les mots n'existent pas, la réalité ne peut pas exister.
C'est entre autres ça, l'injustice épistémique.
Ce mot, il vous est expliqué par Solène Métayer, mon invitée du jour.
Passionnée par ce sujet, elle y dédie même la thèse de son doctorat.
Prenons un exemple pour en parler en quelques mots: Me too.
Jusqu'à l'arrivée de Me too - le fait de nommer - les femmes vivaient seules avec ce mal être. Elles n'étaient pas cru; elles ne pouvaient pas se rassembler.
Le fait de mettre un mot a permis à un tas de femmes de prouver que ce qu'elles ont vécues est légitime.
Ça existe.
C'est arrivé.
Avec Solène, on vous explique comment ce concept existe dans le monde du travail.
On vous donne des conseils pour vous aider à en parler dans votre milieu de travail.
Bonne écoute.
Bienvenue chez vous!
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Pour aller plus loin
DOTSON, Kristie (2011). Tracking epistemic violence, tracking practices of silencing. Hypatia, 26(2), 236–257.
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À propos de mon invité.e
Solène Métayer, M.Sc. est une professionnelle en ressources humaines qui œuvre dans le réseau de la santé, dans le milieu culturel et au sein d’entreprises privées depuis maintenant plus de 20 ans. Elle est chargée de cours à la Faculté des sciences sociales de l’Université d’Ottawa en plus d’être doctorante en communication à l’UQÀM, sous la direction d’Amandine Catala et de Véronique Leduc. Elle est également affiliée à la Chaire de recherche du Canada sur l'injustice et l'agentivité épistémiques.
Elle a complété 5 diplômes universitaires, dont une maîtrise en gestion des ressources humaines de HEC Montréal et un programme court de 2e cycle en gestion de l'équité, de la diversité et de l'inclusion en milieu de travail de l'UQAR.
Elle a découvert à 32 ans qu'elle est autiste et douée. Elle s'est donc orientée il y a maintenant plusieurs années en inclusion professionnelle de la neurodivergence, ce qu'elle accomplit par le biais de conférences, formations, consultation et baladodiffusion, tant au Canada qu’à l’international.
Pour la suivre sur Linkedin c'est ici.
Pour écouter son podcast c'est ici.
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-Vincent
