Au début du mois de mars, je vous ai invité à voter, par le biais d’un sondage en ligne, à propos de la traduction des podcasts en anglais. Vous avez été soixante-dix-sept à vous prononcer et je vous remercie chaleureusement. J’ai suivi au jour le jour l’évolution du sondage. Et j’ai découvert qu’il n’y en avait pas vraiment. Je m’explique. Dès le départ, vous avez été soixante-quinze pour cent à déclarer ne pas être intéressés et vingt-cinq pour cent à être intéressés. Le nombre de votants ...
Au début du mois de mars, je vous ai invité à voter, par le biais d’un sondage en ligne, à propos de la traduction des podcasts en anglais. Vous avez été soixante-dix-sept à vous prononcer et je vous remercie chaleureusement. J’ai suivi au jour le jour l’évolution du sondage. Et j’ai découvert qu’il n’y en avait pas vraiment. Je m’explique. Dès le départ, vous avez été soixante-quinze pour cent à déclarer ne pas être intéressés et vingt-cinq pour cent à être intéressés. Le nombre de votants a augmenté avec le temps, mais les pourcentages sont restés stables. Vous avez aussi été nombreux à m’envoyer soit un commentaire, soit un message, pour m’expliquer les raisons de votre choix. Vous m’avez expliqué que vous aimiez le fait que le podcast soit tout en français, que vous aimiez chercher par vous-même le vocabulaire, que cela faisait partie de l’intérêt du podcast ou bien que, n’étant pas anglophones, vous n’étiez tout simplement pas concernés. Je suis pleine d’admiration pour vous, chères auditrices et chers auditeurs, qui travaillez si sérieusement votre français. Et je crois que je suis aussi fière de vous, un peu comme une maîtresse peut l’être de ses élèves. Vous êtes nombreux à m’écrire que chaque texte est un petit défi, mais que vous vous rendez compte, podcast après podcast, que votre compréhension s’améliore. Cela me fait énormément plaisir de participer à cela.
D’un autre côté, vingt-cinq pour cent, cela représente une vraie demande. Et comme me le faisait très justement remarquer Andrew, cela peut-être l’occasion de faire connaître le podcast à d’autres auditeurs. Nous en avons longuement discuté avec mon amie Natasha (parce que c’est elle qui assurerait la traduction, c’est son métier). Et nous avons finalement décidé de réouvrir le podcast Cultivate your French en regroupant, par thème, des textes de One thing in a French day qui seront rediffusés, mais qui seront également traduits en anglais et expliqués. Nous allons y travailler tout l’été.
C’est une solution qui me plaît beaucoup. Ce sera l’occasion pour moi de reprendre une activité professionnelle en faisant quelque chose qui me plaît. J’espère que vous serez aussi enthousiastes que moi!
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