Cela fait plusieurs jours que je suis atteinte du syndrome bien connu des portes-monnaies, le syndrome « Oh, je n’ai plus rien à me mettre ». L’arrivée, dans ma boîte aux lettres mail, de la newsletter de la marque danoise Noa Noa (marque que j’ai découverte l’année dernière grâce à mon amie Espagnole Teresa) annonçant des ventes privées à moins 30 % n’était pas sans lien, je dois le reconnaître, avec cette envie de nouveauté dans ma garde-robe ! La marque a ouvert une boutique à Paris au...
Cela fait plusieurs jours que je suis atteinte du syndrome bien connu des portes-monnaies, le syndrome « Oh, je n’ai plus rien à me mettre ». L’arrivée, dans ma boîte aux lettres mail, de la newsletter de la marque danoise Noa Noa (marque que j’ai découverte l’année dernière grâce à mon amie Espagnole Teresa) annonçant des ventes privées à moins 30 % n’était pas sans lien, je dois le reconnaître, avec cette envie de nouveauté dans ma garde-robe ! La marque a ouvert une boutique à Paris au mois de novembre, j’ai donc profité de la venue de Laurie ce matin pour filer à Paris et découvrir le magasin. Mais, en arrivant rue du Cherche Midi (j’aime bien le nom de cette rue, pas vous ?), j’ai trouvé porte close. Il était 10h30 et la boutique n’ouvrait qu’à onze heures. Oh là là ! Je devais être de retour à midi à la maison. J’ai contacté Laurie, je pouvais arriver à midi dix sans la retarder. Bon, cela me laissait vingt minutes pour trouver mon bonheur dans le magasin. En attendant l’heure d’ouverture, j’ai fait un tour dans le quartier qui est riche de belles boutiques. C’est la vitrine de la librairie Chantelivre, rue de Sèvres, qui m’a le plus ravie. J’y ai découvert qu’un nouvel album de la série Yoko Tsuno venait de paraître. Yoko Tsuno, électronicienne, est une héroïne sympathique, douce et juste à qui il arrive des aventures terriennes et vinéénnes. Vous connaissez certainement la planète Vinéa ? J’aime beaucoup et je crois que je lis Yoko Tsuno, de Roger Leloup, depuis plus de 30 ans ! Je suis donc entrée acheter la BD dans la librairie. A onze heures et une minute, j’étais de retour devant la boutique Noa Noa. Dès que j’ai passé la porte, j’ai su que j’allais trouver quelque chose. J’étais la seule cliente, la vendeuse a pu s’occuper de moi et elle était très sympa. J’ai essayé ci et ça et tout à coup, oh oh, j’ai regardé l’heure. J’avais dépassé mon temps de liberté, un peu comme Cendrillon. Quel stress ! Heureusement, j’ai eu l’idée d’appeler Jacques et par chance il a pu prendre le relais de Laurie pour qu’elle puisse partir à l’heure. Je suis arrivée à la maison avec dix minutes de retard, mais avec une garde-robe bien renouvelée !
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