Ce matin, j’ai dû me rendre à Paris pour un rendez-vous avec mon amie Natasha. Nous avions rendez-vous à proximité de la station de métro Grands Boulevards, sur la ligne 9. J’ai pris le train pour Saint-Lazare un peu après neuf heures. Beaucoup de gens se rendaient au travail. J’ai remarqué que beaucoup faisaient grise mine. Pas de doute, c’est la fin des vacances. Il faisait gris aujourd’hui et un peu frais. Certaines personnes avaient déjà abandonné leurs tenues estivales et colorées pour de...
Ce matin, j’ai dû me rendre à Paris pour un rendez-vous avec mon amie Natasha. Nous avions rendez-vous à proximité de la station de métro Grands Boulevards, sur la ligne 9. J’ai pris le train pour Saint-Lazare un peu après neuf heures. Beaucoup de gens se rendaient au travail. J’ai remarqué que beaucoup faisaient grise mine. Pas de doute, c’est la fin des vacances. Il faisait gris aujourd’hui et un peu frais. Certaines personnes avaient déjà abandonné leurs tenues estivales et colorées pour des tenues sombres et hivernales.
La gare Saint-Lazare est en travaux. Il y avait un bruit pas possible à cause des marteaux-piqueurs et autres machines infernales. Je suis sortie de la gare, j’ai longé l’hôtel Concorde Saint-Lazare et j’ai descendu la rue d’Amersdam en direction du boulevard Haussmann. En passant distraitement devant la vitrine du Printemps, j’ai cru voir un loup. Un loup? J’ai continué à avancer, puis je me suis arrêtée. Un loup! Je suis revenue sur mes pas. Oui, c’était bien un loup dans la vitrine. Un loup empaillé. Je l’ai pris en photo pour avoir un souvenir de cette rencontre. Quelques mètres plus loin, j’ai croisé un zèbre et un tigre. Le tigre portait négligemment une paire de lunettes de soleil suspendues à son cou. Je ne sais pas quoi penser de ces vitrines. Mais j’étais contente de croiser un loup. Et le tigre était franchement impressionnant. Après le porno chic il y a quelques années, serait-ce la mode à Paris du sauvage chic?
View more