Avec Amal, un esprit libre, Jawad Rhalib questionne la place du religieux dans l’éducation publique d’Outre Quiévrain. La contamination salafiste est nommément stigmatisée à travers un fait de société, qui bifurque vers le thriller pétri d’angoisse et de pratiques maffieuses.
Il faut nommer les choses, affirme Amal (Lubna Azabal), son metteur en scène mêle le film à la parole.
Interview de Jawad Rhalib, enregistrée, en mars dernier à Avignon, lors des Rencontres Cinématographiques du Sud.